
Qu'est ce qu'il se passe dans les parages ?
SHARON EYAL / MATS EK
Après Faunes, la chorégraphe israélienne Sharon Eyal revient pour son premier ballet sur pointes à l’Opéra national de Paris. L’ancienne danseuse et collaboratrice artistique de la Batsheva Dance Company s’empare d’OCD Love, une pièce de 2015 dont elle propose une nouvelle version pour les interprètes de l’Opéra. Inspirée par un texte du poète Neil Hilborn, slameur américain souffrant de troubles obsessionnels compulsifs, l’œuvre souligne la difficulté d’aimer.
La complexité des rapports humains, c’est aussi l’un des thèmes d’Appartement de Mats Ek. Non sans humour, les différentes saynètes du ballet confrontent les personnages à leur solitude à travers des objets du quotidien tels que bidet, télévision ou cuisinière. Du solo du fauteuil au grand pas de deux en passant par la gigue des aspirateurs, le chorégraphe suédois mélange les styles dans une danse énergique qu’épouse la musique percutante de Fleshquartet.
Les Étoiles, les Premières Danseuses, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet de l’Opéra
Présenté par l'Opéra National de Paris (L-R-21-10542)
"Le Palais Garnier, temple de l'opéra et de la danse, vous séduira par la richesse de son architecture et le foisonnement de sa décoration intérieure. Construit par Charles Garnier à la fin du XIXe siècle, le Palais Garnier est un chef d'œuvre architectural connu dans le monde entier. "
Ce palais de marbre et d'or déroule les fastes de son grand escalier et de ses divers foyers, abondamment décorés de peintures et de sculptures, qui en font à la fois un théâtre et un musée. Dans la magnifique salle de spectacle rouge et or, le plafond, peint par Marc Chagall en 1964, évoque, entre autres, quelques grands opéras et ballets du répertoire. Située dans le Pavillon de l'Empereur, la Bibliothèque-Musée (Bibliothèque Nationale de France) conserve dans ses riches collections les témoignages de l'histoire de l'Opéra de Paris, depuis la création de l'Académie royale de Musique par Louis XIV en 1669.
C'est Napoléon III qui prit la décision de faire construire cette treizième salle d'opéra parisienne et c'est à Charles Garnier, jeune architecte que fut confiée la construction : Elle débuta en 1860 et finit en 1875. L'Opéra Garnier, bâtiment fait de marbre et d'or ne peut laisser indifférent. Du bout de l'avenue de l'Opéra, imposant et majestueux, l'Opéra Garnier impressionne. A l'intérieur, un immense escalier mène aux différents niveaux et de part et d'autre, un foisonnement de peintures et de sculptures, avec notamment le plafond peint par Chagall illuminent la salle de spectacle, rouge et or.
Dans ce somptueux écrin, opéras et ballets de productions internationales trouvent toute leur majesté et engendrent la magie.