BRIAN JONESTOWN MASSACRE

vendredi 16 mai 2025, 19h30

RAMONVILLE ST AGNE

LE BIKINI

Catégorie unique
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INFORMATIONS

BRIAN JONESTOWN MASSACRE

30 ans se sont écoulés depuis la sortie de leur premier single She Made Me / Evergreen. Sorti en 1992, alors que la presse musicale britannique se jetait sur les États-Unis pour désigner le prochain groupe à guitares américain qui serait l'incontournable du mois et que les grandes maisons de disques étaient à la recherche des nouveaux talents bien dociles qui deviendrait facilement la nouvelle sensation, Anton Newcombe a eu une idée : dire non.

En tant que leader du Brian Jonestown Massacre, Newcombe s'était déjà imposé comme un auteur-compositeur visionnaire, un homme pour qui faire de la musique n'était pas un choix de style de vie ou une coupe de cheveux hipster mais le tissu même de l'existence, et il avait observé avec une horreur silencieuse ses pairs acquiescer docilement à tout - oui aux contrats, oui au management, oui aux suggestions, oui à ceci, oui à cela, oui, oui, oui. Mais lui était différent.

Anton Newcombe allait dire non à tout. "Je savais juste que j'aurais plus de succès d'une certaine manière en disant non, en étant simplement contraire parce que je me suis dit que si les gens m'aimaient bien, ils allaient m'aimer de toute façon", dit-il. "Ou ne pas m'aimer. Ça n'a pas d'importance."

La plupart de ces événements ont été documentés dans le documentaire controversé « Dig ! », qui est toujours considéré comme l'un des meilleurs documentaires sur le rock jamais réalisés, et qui fête cette année son 20e anniversaire. La version remastérisée a été présentée en avant-première à Sundance en janvier.

Le premier album du Brian Jonestown Massacre, Methodrone, imprégné de sonorités shoegaze, a vu le jour en 1995. Depuis, de nombreux membres du groupe ont rejoint Newcombe dans ses escapades sonores, mais il est resté la seule constante, le cerveau créatif au centre de l'un des groupes les plus fascinants de la musique. Depuis, pas moins de 20 albums ont vu le jour sous le nom de Brian Jonestown Massacre, chacun d'entre eux s'embarquant dans sa propre aventure intellectuelle et explorant les royaumes extérieurs du rock'n'roll : rock psychédélique, country-blues, rock'n'roll hargneux, noise-pop béate et bien d'autres encore.

En cours de route, Newcombe s'est imposé comme un talent unique qui a vu la direction que prenait le rock indé grand public et a choisi de prendre le chemin le plus long. Il est devenu une force révolutionnaire dans la musique moderne, un héros de l'underground. Il n'y avait pas d'autre moyen, c'était comme ça que ça devait se passer. "Ma seule option dans la vie a toujours été de me jeter dans le feu de l'action", déclare-t-il. "Peu importe ce que c'est."

C'est dans cet esprit qu'il a fait le tour du monde, de la côte ouest à New York, de Manhattan à l'Islande, puis à Berlin, où il vit depuis 14 ans et possède deux appartements, l'un pour vivre et l'autre transformé en studio.

Accès PMR : 05 62 24 09 50

Présenté par Spectacles P. Sansonetto (lic.2-311966 & 3-311967).

A PROPOS DE LA SALLE

Le Bikini, entre boîte de nuit classique et salle de concert, est une salle à part dans le paysage des scènes françaises, du fait d'une programmation audacieuse.

Les groupes locaux tout comme les vedettes internationales sont programmés ; et c'est d'ailleurs au Bikini que les Australiens de  Midnight Oil  ont déjà choisi de se produire, tout comme Louise Attaque ou Yuri Buenaventura.  Des artistes à présent réputés y ont fait leurs débuts : les Rita Mitsouko, les Stranglers, Pigalle et les Garçons Bouchers, Noir Désir...

Le Bikini est ainsi devenu l'une des salles de concerts les plus célèbres de France. Et même si avec l'explosion de l'usine AZF en septembre 2001 le Bikini est détruit, il renaît de ses cendres et s'établit à Ramonville, plus fort que jamais.