Qu'est ce qu'il se passe dans les parages ?
RICKY MONTGOMERY
The Rick Tour: Just in the Rick of Time
Première partie : Roe Kapara
La musique attire toujours Ricky Montgomery. Il accuse Internet. D'abord adepte de l'underground Vine, et aujourd'hui - près d'une décennie et plusieurs emplois plus tard - faiseur de hits inattendus, le natif de Los Angeles a passé ces dernières années à essayer de se réconcilier avec son statut d'artiste. Il a récemment dépassé le milliard de streams dans le monde grâce aux tubes indie-pop "Mr. Loverman" et "Line Without a Hook". Mais ces chansons, écrites lorsqu'il était adolescent, ont fini par donner l'impression d'avoir été écrites par une toute autre personne, du moins pour Ricky. En 2023, nous faisons la connaissance de Rick, un deuxième album qui arrive sept ans plus tard, riche en alt-pop teintée d'électro et d'emo, qui raconte des histoires sur la vie dans toute sa gloire désordonnée et banale. Le parcours de Ricky est tout à fait représentatif : une enfance à Los Angeles interrompue par un divorce, une adolescence à jouer dans les groupes de sous-sol de la banlieue du Missouri, une explosion virale sur une plateforme qui allait bientôt exploser, et une brève carrière musicale sur la côte ouest qui a propulsé ses chansons dans les palmarès Rock et Alternatif. C'était en 2014, avant que la vie n'intervienne et qu'il n'abandonne la musique pour de bon... jusqu'à ce que le monde découvre ses chansons ensoleillées et sardoniques. Avec des millions d'adeptes sur les réseaux sociaux et une série de tournées à guichets fermés à son actif, Ricky entreprend maintenant de documenter "mon long et maladroit chemin vers le souvenir de moi-même en tant qu'artiste", dit-il. "Cela a été embarrassant et difficile, mais aussi passionnant. C'est tout ce que j'ai toujours voulu faire, mais que j'avais trop peur d'essayer. »
Commandes limitées a 8 places maximum
La Maroquinerie, salle de concert du XXème arrondissement, s'ancre dans le paysage musical parisien par sa programmation éclectique à dominante musiques actuelles et sa démarche de producteur et d'initiateur de festivals. La structure existe depuis 1997 et comporte une grande salle d'une capacité de 500 personnes mais aussi un vrai restaurant-bar ouvert tous les soirs. L'espace restaurant accueille régulièrement lectures, débats, showcases ou vernissages d'expositions. En septembre 2003, la Maroquinerie est devenue une filiale d'Astérios Productions (Vincent Delerm, Cali, Têtes Raides, Jeanne Cherhal ect...) Chaque saison, de septembre à juillet, accueille de 230 à 240 spectacles, balayant le panorama des musiques actuelles. La Maroquinerie s'impose comme un véritable lieu de vie où le public se retrouve aussi bien pour apprécier un concert que pour passer un moment en terrasse ou se retrouver au restaurant.