PRÉSENCES ARABES, ART MODERNE le mardi 30 avril 2024

PRÉSENCES ARABES, ART MODERNE

mardi 30 avril 2024, 11h00

PARIS 16

MUSEE D'ART MODERNE VILLE DE PARIS

Trop tard
La séance est terminée !

INFORMATIONS

Gratuit pour les moins de 18 ans, les chômeurs et les personnes bénéficiaires des minimas sociaux.
Important: les tarifs réduits sont accessibles uniquement aux caisses du musée. 

Présences arabes
Art moderne et décolonisation. Paris 1908-1988
Du 5 avril au 25 août 2024

Le Musée d’Art Moderne de Paris propose de redécouvrir la diversité des modernités arabes au 20ème siècle et de renouveler le regard historique sur des scènes artistiques encore peu connues en Europe. À travers une sélection de plus de 200 œuvres, pour la plupart jamais exposées en France, l’exposition « Présences arabes – Art moderne et décolonisation – Paris 1908-1988 » met en lumière la relation des artistes arabes avec Paris, tout au long du 20ème siècle.

A PROPOS DE LA SALLE

Situé dans le palais de Tokyo construit pour l'exposition internationale de 1937, le musée a été inauguré en 1961. Ses collections, riches de plus de 8 000 oeuvres illustrent différents courants de l'art du XXème siècle.

Ancrée dans une histoire parisienne, elle s'est articulée d'abord à la création du musée lui-même, conçu dans le cadre de l'Exposition internationale des arts et des techniques de 1937 pour n'ouvrir effectivement qu'en 1961 avec notamment, un noyau d'oeuvres provenant des collections "modernes" du Petit Palais enrichie grâce à la générosité des collectionneurs Emanuele Sarmiento, Mathilde Amos, Ambroise Vollard. 

L'exposition de 1937 aura été l'occasion d'acquisitions particulièrement remarquables, parmi lesquelles il faut citer : La Danse de Matisse, Le Nu dans le bain et Le Jardin de Bonnard, L'équipe de Cardiff de Robert Delaunay, La Rivière de Derain, Les Disques de Léger, l'Escale de Lhote, L'Oiseau bleu de Metzinger, quatre Portraits d'artistes de Vuillard, des meubles de Pierre Chareau, André Arbus, Jacques Emile Ruhlmann, etc., qui comptent encore parmi les chefs-d'oeuvre du musée, sans parler des grandes décorations de Robert et Sonia Delaunay, Albert Gleizes et Jacques Villon, acquises dans la mouvance (don du Salon des réalités nouvelles en 1939).

L'apport du legs Girardin (en 1953) sera décisif et déterminera alors les autorités parisiennes à s'affranchir  des cimaises devenues trop étroites du Petit Palais pour ouvrir un lieu propre au sein du Palais de Tokyo. 

Expositions sur les grands mouvements et les artistes marquants de la scène européenne du XXème siècle mais aussi expositions monographiques et thématiques présentent les principales tendances de l'art d'aujourd'hui.