POSTMODERN JUKEBOX le samedi 28 mai 2022

POSTMODERN JUKEBOX

samedi 28 mai 2022, 20h00

BORDEAUX

THEATRE FEMINA

Trop tard
La séance est terminée !

INFORMATIONS

Postmodern Jukebox

 

Prenez les plus grands tubes pop contemporains, balancez-les dans une machine à remonter le temps et secouez-bien. Vous obtiendrez l’excellence artistique de Postmodern Jukebox et ses sonorités tout droit sortis du début du XXème siècle. Une musique qui fait du bien et qui donne le smile !

 

C’est un peu comme si Bob Dylan décidait de reprendre Maroon 5, qu’Aretha Franklin chantait Creep de Radiohead ou que Marilyn Monroe prenait la place sulfureuse de Britney Spears. Car Postmodern Jukebox aime faire du vieux avec du neuf. Avec eux, ça swingue, c’est jazzy et des pans entiers de la musique sont remis au goût du jour. Qui connaît encore le doo-wap, le ragtime ou la motown ? Si l’on a oublié ces noms, pas eux et ils le font savoir en chansons avec une énergie et une bonne humeur communicatives. En fermant les yeux, on aurait presque l’impression d’aller au bal au bras de Franck Sinatra !

 

Ironie du sort, c’est sur YouTube que le groupe emmené par le pianiste Scott Bradlee a pris son envol. Et de groupe, en réalité, il n’y en n’a pas vraiment. Car Postmodern Jukebox est aussi multiforme que ses reprises. Si son fondateur reste, plus de 70 artistes sont passés dans ses rangs, pour une chanson ou pour une saison. Et c’est aussi sa force d’intégrer des musiciens et des chanteurs venant d’origines multiples, de jeunes talents souvent passés par des concours télévisés. Une visibilité supplémentaire pour ceux qui ont déjà explosé le milliard de vidéos vues dans le monde.

 

De l’écran à la scène, il n’y avait qu’un pas, que le groupe a finalement réalisé. Et heureusement ! Car en concert, c’est un festival tout droit sorti des films des années 20, la couleur en plus. Ça swingue, ça chante, ça danse et ça fait des claquettes. Les soirées défilent, ne se ressemblent pas et nous embarquent tout entier dans les années folles.

Après trois concerts à L’Olympia en 2017 – mais également une Salle Pleyel en 2018 – Postmodern Jukebox sera de retour à l’Olympia (Paris) et en tournée en France en mai 2022 !

A PROPOS DE LA SALLE

Le théâtre FEMINA à Bordeaux depuis 1921

Créé en 1921, sa première vocation fut celle d'un théâtre et d'une salle de spectacle. Il a reçu à ce double titre, les plus grandes célébrités de l'époque.

Avec la montée cinématographique des années 30-40, il est rapidement devenu une des plus grande salle de cinéma de Bordeaux.
Fait particulier pour cette salle : alors que dans les années 75 ses congénères se morcellent en complexes cinématographique, le FEMINA reste identique à lui-même.
À cette même époque, de nouveaux aménagements mettent au goût du jour sa façade et son hall d'accueil. La salle de 1200 places peinte dans les tons crème et or, scandée de pilastres à chapiteaux dorés encadrant de grands panneaux à fond vert, est rénovée scrupuleusement dans le respect de l'oeuvre de J. ARTUS. Les fauteuils sont restaurés et habillés d'un nouveau velours rouge.

Au plafond, G. LAREE avait représenté sur la coupole l'apothéose de Pierrot, de la danse et de la musique moderne sur un fond où s'estompe le théâtre FEMINA lui-même. TUFFET avait réalisé les sculptures.
Avec son mélange de styles dosant adroitement le LOUIS XVI et les réminiscences de l'Art Nouveau, le FEMINA reste encore l'un des derniers exemples fastueux de décor éclectique.

Temple du Cinéma pendant plus d'un demi-siècle, l'année 1977 voit la concrétisation d'un accord avec la Mairie de Bordeaux. Grâce à cette union, l'extension de la scène, des loges et de la fosse d'orchestre devint possible et permit à cette élégante et confortable salle de revenir à ses premières amours.

Le Théâtre, l'Opérette, la Comédie, la Danse, la Musique et la Variété bénéficient avec le théâtre FEMINA fort bien situé au coeur de la ville, d'un lieu d'expression convivial et chaleureux où se confonde harmonieusement l'âme de la salle et la magie du spectacle pour la plus grande satisfaction du public.

Jean-Pierre GIL