LES 4 SAISONS DE VIVALDI INTEGRALE le samedi 24 août 2024

LES 4 SAISONS DE VIVALDI INTEGRALE

samedi 24 août 2024, 20h45

PARIS 08

EGLISE DE LA MADELEINE

Prestige
ASSIS PLACEMENT LIBRE Normal 40,00 €
Groupe 35,00 €
de 25 ans 35,00 €
Chômeur 35,00 €
Catégorie unique
ASSIS PLACEMENT LIBRE Normal 30,00 €
Groupe 28,00 €
de 25 ans 20,00 €
Chômeur 20,00 €
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INFORMATIONS

Les 4 Saisons de Vivaldi Intégrale / Petite Musique de Nuit de Mozart

Orchestre Hélios

Le Violon Solo : Glen Rouxel

 

Présentation de l’œuvre 

La Sérénade no 13 en sol majeur « Eine Klein Nachtmusik », K. 525 – plus connue en français sous le titre « Une petite musique de nuit » – est une sérénade pour  cordes composée par Mozart en 1787. Son premier mouvement débute par l'un des thèmes les plus connus de la musique classique. Elle est la dernière sérénade de Mozart.

Les quatre saisons d’Antonio Vivaldi est un ensemble de quatre concerti pour violon, composé en 1723. Il s’agit sans doute de la composition la plus connue de Vivaldi et de l’œuvre musicale la plus jouée dans le monde. C’est un concerto pour violon où le soliste joue accompagné d’un orchestre de chambre. Le contenu de chaque partie est varié et évoque chacune des saisons auquel il se rapporte. A titre d’exemple, l’hiver est ponctué de notes en pizzicato sur les cordes hautes, faisant penser à une pluie glaciale, alors que l’été évoque un orage dans le mouvement final, préparé par le tonnerre qui gronde à plusieurs reprises dans le mouvement.

Orchestre Hélios

Dynamique et éclectique, l’orchestre Hélios s’est imposé depuis sa création en 2014.

Son directeur artistique, Paul Savalle, favorise l’insertion professionnelle des jeunes musiciens par la pratique d’orchestre. Ainsi, de jeunes diplômés se mêlent aux musiciens d’orchestre, aux chefs et aux solistes expérimentés, dans des conditions de travail optimales.

 

De la musique baroque à la musique contemporaine, les programmes sont variés, le répertoire est à la fois symphonique et choral, l’orchestre s’associant aux chœurs départementaux et régionaux.

 

Grâce à la collaboration avec différents chefs, les musiciens abordent un répertoire très riche en élargissant leur palette d’interprétation. Ils sont tous issus des grands conservatoires français, certains appartenant à un orchestre national.

 

Du quatuor à cordes à l’orchestre symphonique, en passant par l’ensemble de cuivres, l’orchestre élargit toujours son audience en modulant sa composition. La formation « cordes » se produit dans les plus prestigieuses églises de Paris, ce qui permet au public de découvrir un patrimoine architectural très riche.

 

Sa formation à géométrie variable permet à l’orchestre Héliosd’aborder un répertoire très large avec une curiosité passionnée.

A PROPOS DE LA SALLE

En plein Paris haussmanien, c'est une "figure" emblématique incontournable : Plus de 600.000 visiteurs gravissent chaque année le large perron qui mène au sanctuaire où sont vénérées les reliques de Sainte Marie-Madeleine, la pêcheresse repentie, premier témoin de la résurrection du Seigneur, à qui est confiée la mission d'annoncer aux apôtres la Bonne Nouvelle.

Il reste fort peu de documents sur le premier sanctuaire construit au bourg de La Ville L'Évêque. Ce patronyme est encore porté par une rue du quartier qui rappelle l'octroi du domaine à l'évêque de Paris, au temps du roi Dagobert. Attestée dès le XIIe siècle, la première église dominait une zone encore rurale et elle était probablement de style gothique.

En 1492, Charles VIII installa une confrérie dédiée à sainte Marie-Madeleine dans l'église primitive. Au XVIIe siècle, La Ville l'Évêque se développa parallèlement au quartier parisien de Saint-Honoré. Le sanctuaire gothique devint insuffisant et le 8 juillet 1659 la Grande Mademoiselle, Anne-Marie-Louise d'Orléans, posa la première pierre de la seconde église. De style classique, la nouvelle paroisse s'élevait à l'emplacement du début du boulevard Malesherbes actuel. Elle servit jusqu'à la Révolution.

La Ville l'Évêque fut annexé à la Ville de Paris en 1722 et bénéficia donc du développement du faubourg Saint-Honoré : en conséquence, son église paraissait bien modeste dans un quartier couvert de somptueuses demeures, telles que l'hôtel d'Évreux habité par Mme de Pompadour. La reconstruction de La Madeleine fut décidée en 1757, à l'emplacement de l'hôtel de Chevigny et des dépendances d'un couvent de bénédictines.

Reproduit par Patte dans le livre des Monuments érigés en France à la gloire de Louis XV, le projet de Contant d'Ivry montre le plan traditionnel en croix latine.  La comparaison avec Jacques-Germain Soufflot a toujours été faite car les deux projets sont contemporains. Dans le contexte de la réaction antiquisante de la seconde moitié du XVIIIe siècle, l'église Sainte-Geneviève (le Panthéon) apparaît plus sobre et plus monumentale. Elle annonce mieux le néo-classicisme de la fin du siècle, mais c'est pourtant l'église de Vignon qui poussera plus loin le pastiche de l'antiquité.