GOSPEL HELIOS le samedi 4 mai 2024

GOSPEL HELIOS

samedi 4 mai 2024, 20h45

PARIS 08

EGLISE DE LA MADELEINE

Trop tard
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INFORMATIONS

Gospel Hélios

Direction artistique : Dominique Magloire

 

Ne manquez pas cette incroyable performance du choeur Gospel Hélios dirigé par Dominique Magloire, dans les prestigieuses Églises de Saint-Germain des Prés et de la Madeleine.

 

Au Programme : “Oh Happy Day”, Amazing Grace, “Oh When the Saints” …

 

Dès son enfance, Dominique Magloire découvre la musique en intégrant des chorales de gospel. Passionnée par le chant, elle participe à plusieurs comédies musicales : « Autant en emporte le vent », « Cléopâtre », « Les années Twist » … Elle se forge une renommée nationale et internationale grâce à son implication dans diverses productions : Gospel pour 100 Voix, Gospel sur la Colline… Suite à cela, elle décide de continuer à explorer d’autres formes d’art vocal.

Elle fait des études de chant lyrique au conservatoire où elle apprend à maîtriser sa voix de soprano lirico-spinto en obtenant un 1er prix de chant ainsi qu’un 1er prix de musique de chambre. Dès lors, elle interprète les plus grandes œuvres de la musique classique : la Traviata de Verdi, le Requiem de Mozart, Porgy and Bess de Gerswin, la Créole de Tulipatan d’Offenbach, le rôle de Didon dans Didon et Énée de Purcell.

En 2012, Dominique Magloire devient la grande révélation de the Voice sur TF1 en interprétant : Ma Gueule de Johnny et Goldeneyes. Ce défi lui a permis de chanter devant 7 millions de téléspectateurs et de prendre part à la tournée.

En 2015, Dominique Magloire performe sur la scène des Folies Bergère lors de la comédie musicale : Gospel sur la Colline de Benjamin Faleynas. En 2019, elle participe à l’émission Together animée par Éric Antoine et Garou. Elle est également à l'affiche de Ménopause, le spectacle musical écrit et mis en scène par Alex Goude.

En 2021, Dominique Magloire participe à la saison All Stars de The Voice pour célébrer les 10 ans de l'émission.

Fort de ses expériences, elle s’occupe de la direction artistique de « Gospel Hélios », ensemble ayant pour vocation la promotion du Gospel dans les Églises Parisiennes de Saint Germain des Prés et de la Madeleine.

A PROPOS DE LA SALLE

En plein Paris haussmanien, c'est une "figure" emblématique incontournable : Plus de 600.000 visiteurs gravissent chaque année le large perron qui mène au sanctuaire où sont vénérées les reliques de Sainte Marie-Madeleine, la pêcheresse repentie, premier témoin de la résurrection du Seigneur, à qui est confiée la mission d'annoncer aux apôtres la Bonne Nouvelle.

Il reste fort peu de documents sur le premier sanctuaire construit au bourg de La Ville L'Évêque. Ce patronyme est encore porté par une rue du quartier qui rappelle l'octroi du domaine à l'évêque de Paris, au temps du roi Dagobert. Attestée dès le XIIe siècle, la première église dominait une zone encore rurale et elle était probablement de style gothique.

En 1492, Charles VIII installa une confrérie dédiée à sainte Marie-Madeleine dans l'église primitive. Au XVIIe siècle, La Ville l'Évêque se développa parallèlement au quartier parisien de Saint-Honoré. Le sanctuaire gothique devint insuffisant et le 8 juillet 1659 la Grande Mademoiselle, Anne-Marie-Louise d'Orléans, posa la première pierre de la seconde église. De style classique, la nouvelle paroisse s'élevait à l'emplacement du début du boulevard Malesherbes actuel. Elle servit jusqu'à la Révolution.

La Ville l'Évêque fut annexé à la Ville de Paris en 1722 et bénéficia donc du développement du faubourg Saint-Honoré : en conséquence, son église paraissait bien modeste dans un quartier couvert de somptueuses demeures, telles que l'hôtel d'Évreux habité par Mme de Pompadour. La reconstruction de La Madeleine fut décidée en 1757, à l'emplacement de l'hôtel de Chevigny et des dépendances d'un couvent de bénédictines.

Reproduit par Patte dans le livre des Monuments érigés en France à la gloire de Louis XV, le projet de Contant d'Ivry montre le plan traditionnel en croix latine.  La comparaison avec Jacques-Germain Soufflot a toujours été faite car les deux projets sont contemporains. Dans le contexte de la réaction antiquisante de la seconde moitié du XVIIIe siècle, l'église Sainte-Geneviève (le Panthéon) apparaît plus sobre et plus monumentale. Elle annonce mieux le néo-classicisme de la fin du siècle, mais c'est pourtant l'église de Vignon qui poussera plus loin le pastiche de l'antiquité.