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DOPE D.O.D. [Rap Hardcore / Dubstep – NL]
Groupe de hip-hop néerlandais de renommée internationale, ayant ses racines en Afrique et en Angleterre. Connu pour ses lignes vocales puissantes sur des rythmes lourds et agressifs, leur style mélange le hip hop classique avec des éléments électroniques, ce qui leur a valu des collaborations avec The Prodigy, The Teddy Killerz et Black Sun Empire, pour n'en citer que quelques-uns.
Difficile à catégoriser, leurs fans décrivent souvent leur son comme étant "à eux", avec un mélange de tambours boom bap percutants et de lignes de basse distordues, tout en s'appuyant sur des textes aux punchlines pleines d'esprit et aux sujets macabres.
Fidèle à ses principes et ne se conformant à rien, Dope D.O.D. n'a manifestement pas l'intention de ralentir son rythme et de continuer à se faire une place dans le paysage toujours plus vaste de la musique rap.
BIZARRE [Hip-hop / Horrorcore – USA]
Depuis son introduction au grand public en tant que membre de D-12, les performances torse nu de Bizarre, ses bonnets de douche et ses rimes à l’humour psychotique l’ont certainement distingué au sein d’un groupe de rap composé de six personnes.
Formé sur la scène underground de Détroit avant de connaître un succès mondial et des ventes d’albums de platine, Bizarre s’est présenté au monde avec son album indépendant Attack of the Weirdos, sorti en 1998. Il s’agit de l’un des premiers albums de hip-hop de Détroit à mettre en valeur la diversité des talents de la ville, avec des productions de Mr. Porter et Jay Dee (J Dilla), alors inconnus.
Sur Friday Night at St. Andrews, Bizarre recrée l’esprit de cet album avec l’attention d’un artiste expérimenté qui a parcouru le monde et appris à connaître l’industrie.
Capable de prendre ses propres décisions, Bizarre s’est abstenu d’utiliser ses relations très-en-vues et a plutôt choisi de recruter de jeunes producteurs pour créer le son de son album. Le résultat est un album bien équilibré qui lui permet non seulement de rapper sur les thèmes extrêmes pour lesquels il est connu (“Feeling Myself” et “April May June July” traitent de la consommation de drogues récréatives), mais aussi sur des histoires d’hommes ordinaires (“Just Can’t Get Enough” parle de relations amoureuses volatiles).
