BOLERO DE RAVEL & REQUIEM DE MOZART le samedi 14 septembre 2024

BOLERO DE RAVEL & REQUIEM DE MOZART

samedi 14 septembre 2024, 20h45

PARIS 08

EGLISE DE LA MADELEINE

Prestige
ASSIS PLACEMENT LIBRE Normal 60,00 €
Catégorie 1
ASSIS PLACEMENT LIBRE Normal 40,00 €
Groupe 32,00 €
de 25 ans 30,00 €
Chômeur 30,00 €
Catégorie 2
ASSIS PLACEMENT LIBRE Normal 30,00 €
Groupe 25,00 €
de 25 ans 25,00 €
Chômeur 25,00 €
Catégorie 3
ASSIS PLACEMENT LIBRE Normal 20,00 €
Groupe 18,00 €
de 25 ans 18,00 €
Chômeur 18,00 €
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INFORMATIONS

Requiem de Mozart / Boléro de Ravel

Orchestre Hélios

Chœur Hélios Éphémère

 

Direction  des Concerts : 

Samedi 11 Février  Matthieu Cabanes

Samedi 25 Mars Yann Molénat 

Samedi 15 Avril Xavier Saumon 

Vendredi 26 Mai Matthieu Cabanes 

Samedi 10 Juin Laurent Couson 

 

Le Boléro De Ravel

Le Boléro est l’œuvre de musique classique la plus jouée dans le monde avec une représentation toutes les 15 minutes. Lors de sa création, le compositeur avait donné les droits d’auteur à son jardiner sans prévoir son succès auprès du grand public. 

Cette œuvre est l’archétype de l’ostinato. La mélodie est reprise à tour de rôle par les différents instruments de l’orchestre sur une formule rythmique à la percussion.

 

Le Requiem de Mozart

Les circonstances particulières de commande de cette œuvre, et les conditions en quelque sorte tragiques de son écriture, sur le lit de mort de son auteur, en alimentent la légende. En juillet 1791, le comte Walsegg-Stuppach, sous le sceau du secret, commanda un Requiem à Mozart pour sa femme, morte en février. Le travail fut différé en octobre, dû au surmenage que connaissait le compositeur pris par la Clémence de Titus et par la Flûte Enchantée.

A la mort de Mozart, le Requiem restait une œuvre inachevée. Dans la phase finale de sa maladie, Mozart avait écrit l’intégralité du « Requiem aeternam » : du Kyrie au Confutatis, seules les parties vocales et la basse continue était écrites. Pour le Lacrimosa, seulement les huit premières mesures de la voix et deux premières mesures des parties de violon et d’alto. Des esquisses de pièces supplémentaires ont été perdues. Alors qu’il était alité, des amis viennent chanter les parties du Requiem à son chevet.

 

Dynamique et éclectique, l’orchestre Hélios s’est imposé depuis sa création en 2014.

Son directeur artistique, Paul Savalle, favorise l’insertion professionnelle des jeunes musiciens par la pratique d’orchestre. Ainsi, de jeunes diplômés se mêlent aux musiciens d’orchestre, aux chefs et aux solistes expérimentés, dans des conditions de travail optimales.

De la musique baroque à la musique contemporaine, les programmes sont variés. Quant au répertoire, il est à la fois symphonique et choral, l’orchestre s’associant aux chœurs départementaux et régionaux.

Grâce à la collaboration de différents chefs, les musiciens abordent un répertoire très riche en élargissant leur palette d’interprétation. Ils sont tous issus des grands conservatoires français, certains appartenant à un orchestre national.

A PROPOS DE LA SALLE

En plein Paris haussmanien, c'est une "figure" emblématique incontournable : Plus de 600.000 visiteurs gravissent chaque année le large perron qui mène au sanctuaire où sont vénérées les reliques de Sainte Marie-Madeleine, la pêcheresse repentie, premier témoin de la résurrection du Seigneur, à qui est confiée la mission d'annoncer aux apôtres la Bonne Nouvelle.

Il reste fort peu de documents sur le premier sanctuaire construit au bourg de La Ville L'Évêque. Ce patronyme est encore porté par une rue du quartier qui rappelle l'octroi du domaine à l'évêque de Paris, au temps du roi Dagobert. Attestée dès le XIIe siècle, la première église dominait une zone encore rurale et elle était probablement de style gothique.

En 1492, Charles VIII installa une confrérie dédiée à sainte Marie-Madeleine dans l'église primitive. Au XVIIe siècle, La Ville l'Évêque se développa parallèlement au quartier parisien de Saint-Honoré. Le sanctuaire gothique devint insuffisant et le 8 juillet 1659 la Grande Mademoiselle, Anne-Marie-Louise d'Orléans, posa la première pierre de la seconde église. De style classique, la nouvelle paroisse s'élevait à l'emplacement du début du boulevard Malesherbes actuel. Elle servit jusqu'à la Révolution.

La Ville l'Évêque fut annexé à la Ville de Paris en 1722 et bénéficia donc du développement du faubourg Saint-Honoré : en conséquence, son église paraissait bien modeste dans un quartier couvert de somptueuses demeures, telles que l'hôtel d'Évreux habité par Mme de Pompadour. La reconstruction de La Madeleine fut décidée en 1757, à l'emplacement de l'hôtel de Chevigny et des dépendances d'un couvent de bénédictines.

Reproduit par Patte dans le livre des Monuments érigés en France à la gloire de Louis XV, le projet de Contant d'Ivry montre le plan traditionnel en croix latine.  La comparaison avec Jacques-Germain Soufflot a toujours été faite car les deux projets sont contemporains. Dans le contexte de la réaction antiquisante de la seconde moitié du XVIIIe siècle, l'église Sainte-Geneviève (le Panthéon) apparaît plus sobre et plus monumentale. Elle annonce mieux le néo-classicisme de la fin du siècle, mais c'est pourtant l'église de Vignon qui poussera plus loin le pastiche de l'antiquité.