SPARKS le mardi 20 octobre 2020

SPARKS

mardi 20 octobre 2020, 20h00

PARIS 09

CASINO DE PARIS

Trop tard
La séance est terminée !

INFORMATIONS

Ouverture des portes 18h30

Au service d’une pop originale et flamboyante, les Sparks continuent de prouver leur pertinence avec leur nouveau disque ‘Hippopotamus.
Sur la pochette, la tête d’un hippopotame émerge de l’eau d’une piscine. Ni le titre de l’album, ni le nom du groupe ne sont indiqués, mais on reconnaît en arrière-plan deux silhouettes familières : qui d’autre que les Sparks oserait une idée aussi farfelue ? Cette question revient sans cesse dans l’œuvre de Ron et Russell Mael, deux frères californiens qui piochent dans différents styles musicaux (glam, disco, new-wave, art rock…) depuis des décennies sans jamais perdre leur énergie pétillante et leur modernité. Aujourd’hui âgés de 72 et 68 ans, ces vétérans de la pop ont influencé des ribambelles de musiciens depuis le début des années 1970 : The Smiths, Björk, New Order, Depeche Mode, ou plus récemment les Lemon Twigs et Franz Ferdinand. @Les Inrocks

ENGLISH
Described as “the smartest, most consistently evolving band in the history of rock”, and internationally acclaimed as pop pioneers, Sparks’ music has always been innovative and instantly identifiable. Recorded in Los Angeles, ‘Hippopotamus’ sees Sparks take the pop form, shake it up, and create an album that is adventurous, fresh and idiosyncratically ‘Sparks’.

The title track was tipped by The Guardian Guide, NME and Music Week and described by Mojo as “combining Dr Seuss whimsy, classical miniaturism and the archest humours – with an invitation to dance – Ron and Russell Mael return as only they can”. Playlisted on BBC Radio 6 Music and coinciding with the band’s stand out performance at the 6 Music Festival in Glasgow, the song was an intriguing introduction to the band’s first ‘regular’ studio album since 2008’s ‘Exotic Creatures of The Deep’.

A PROPOS DE LA SALLE

Dès 1730, là ou l'on voyait des prés et des arbres, un site est aménagé pour les distractions du Duc de Richelieu. Fréquentée ensuite plus démocratiquement, la "Folie Richelieu" devient un lieu de spectacles jusqu'en 1811. Elle est remplacée par le Trivoli, un très vaste parc d'attractions animé par un artificier du nom de Ruggieri, aujourd'hui encore le grand nom des feux d'artifices de Paris.

En 1851, on construit l'église de la Trinité sur l'emplacement du Trivoli. Est-ce la fin de la vocation de plaisir et de gaieté du lieu? Non, car le Baron Haussmann, l'aménageur tout puissant de Paris, la fait démonter et reconstruire un peu plus bas! Un immense hall est construit sur le site. Diverses attractions y sont proposées dont une patinoiren qui recueille un grand succès.

En 1880, sur une partie de la patinoiren on construit le Palace Théâtre. On s'y promène dans un décor très belle époque et on suit des attractions sur un grand podium. La vocation du lieu se précise...

C'est durant la sombre période de la guerre de 1914-1918 que le Casino De Paris va adopter la formule quien fera une légende du Music Hall parisien.

C'est notamment avec Serge Gainsbourg en 1985 que le Casino De Paris affirme sa nouvelle image dans le monde artistique. Dès lors, vont se succéder les plus grands noms de la chanson française et internationale (Jacques Dutronc, Michel Jonasz, Jacques Higelin, Alain Souchon, Ben Harper, Shirley Mac Laine, Dany Brillant, Maxime Le Forestier, Sheryl Crow, Yannick Noah, Lou Reed, Chimène Badi et bien d'autres ...) et de l'humour (Gad Elmaleh, Jean Marie Bigard, Elie Sémoun, Muriel Robin, Dany Boon, Laurent Gerra, Jamel Debbouzze ...). En accueillant également des comédies musicales telles que Starmania, Le Petit Prince, Chicago, et des shows suprenants comme les Tap Dogs, Arthuro Brachetti, Slava Snow Show, le Casino De Paris se distingue par la diversité de ses spectacles s'inscrivant ainsi dans les salles de Music Hall les plus appréciées de Paris.